Un cadeau de Noël ; plus que quelques jours et vous ne savez pas quoi offrir à votre coureur ou coureuse préférée ?
et pourquoi pas vous faire un « petit cadeau » à vous parce qu’il faut bien l’avouer, vous avez été sage tout au long de cette année 😉
Et pourquoi pas un livre, mais pas n’importe quel livre, un livre de course à pied !
Moi je l’ai lu alors que des gros livres, je vous assure ça me fait peur ! Et bien là je n’ai pas eu de mal à en venir à bout.
Je vous laisse découvrir le résumé qui ravira bon nombre.
Le 21 mars 1931, dans le stade de Los Angeles, Douglas Fairbanks donnait le départ de la Trans-America : 2000 athlètes, dont 121 femmes, venus de soixante pays du monde, s’élançaient en direction de l’est. Répondant à l’appel de Charles C. Flanagan, audacieux organisateur de manifestations sportives, ils allaient tenter d’atteindre New York, à 5063 km de Los Angeles, à raison de 80 km par jour. C’était la plus grande course de fond jamais imaginée dans l’histoire – et un fabuleux défi, un pari insensé.
Je peux juste rajouter que cette course à vraiment eu lieu, elle est le support de cette très belle histoire : voilà peut-être de quoi vous inciter à lire pour en savoir plus.
De cette course de Titans, qui dura trois mois, Tom MacNab a fait le plus extraordinaire des romans, à la mesure même de l’aventure. A travers les déserts brûlants, dans les tempêtes de neiges des Rocheuses et la poussière des routes sans fin, nous partageons les souffrance de cette armée qui fond au fil des jours. 862 atteindront New York, au terme d’un ultime marathon, et, parmi eux, ceux qui seront devenus nos amis : les Américains Doc Dole et Mike Morgan, l’Écossais Hugh McPhail, l’Anglais Peter Thurleigh et une jeune femme, Kate Sheridan.
Un prodigieux exploit, une admirable leçon de courage, une folie superbe, des personnages inoubliables, des évènements inimaginables, c’est La grande course de Flanagan, une grande œuvre.
En plus nous avons de la chance, car ce livre était épuisé depuis de nombreuses années, et il a été réédité. Alors il n’y a plus qu’à.